lundi 17 janvier 2011

Et si le sensuel était essentiel.. Et si..

"Et si le sensuel était essentiel", je dis bien "Et si". Mais à travers cette suite de la "Séance sensuelle et sans suite" (ce sont les tests numériques de la séance qui s'avéraient être de très bonne qualité et qui n'ont subi quasiment aucune retouche si ce n'est un passage au noir et blanc), nous retrouvons ici tout un potentiel qui ne perd pas de son cachet, de son importance. C'est ici un début d'érotisme mais surtout une forme de mise à nu, de dévoilement pudique (car finalement, on ne voit pas tant que ça) mais aussi et toujours pas d'exhibition.

La sensualité, c'est le juste milieu qui ne connait ni débordement, ni rétention. Un appel à l'expression corporelle la plus personnelle, et la plus intime sans une volonté de montrer sans retenue. C'est un acte d'érotisme réfléchi et mesuré qui s'obtient seulement grâce à un savoir-faire ou à une aptitude innée - n'est pas sensuel qui veut.

Ceux qui se concentrent sur les seins dénudés sont dans l'erreur.. Car l'action se passe ailleurs, la nudité n'est ici qu'accessoire.

Je vous laisse chercher..




Crédits : Justin W.



Crédits : Madonna - Justify my love

lundi 10 janvier 2011

"Elle est née des caprices.."

Voici une nouvelle expérience et pas des moindres, la vidéo..

J'espère que vous saurez apprécier les petites subtilités, le choix de Bashung en fond musical, et comme je le disais, les états de Lou L'ingénue..

Une chose est sûre, cette vidéo n'est que le commencement de cette expérience et j'espère que le résultat des prochaines vidéo ne sera que crescendo avec toujours plus de recherche, d'engouement et d'élaboration.


dimanche 9 janvier 2011

Séance sensuelle et sans suite


Crédits : Gainsbourg - Sensuelle et sans suite

J'ai pas trouvé mieux comme intitulé.. Et il y a en prime une jolie référence à Gainsbourg.

Ce sont les photos d'une séance faite au polaroid, ma toute première expérience qui fût un régal tant par le déroulement de ce type de séance, l'implication très particulière pour chaque pose, chaque image, la recherche d'une expression forte et intense que par la sympathie du photographe (nom que je ne peux mentionner).
C'est vrai qu'il y a cette petite pression (par le déclenchement et le fameux "clic" d'un appareil polaroid) à comparé d'une séance numérique. On évite de gâcher chaque prise, les essais sont limités, il faut garder les poses plus longuement pendant les test, etc.

J'espère que, comme l'intention du photographe, vous trouverez ces photos particulièrement sensuelles. De mon côté, je suis très contente de cette séance et du résultat. D'ailleurs, ces photos sont en vue d'une publication.

PS : J'ai quelques brutes numériques, elles aussi très belles. Je pense en publier quelques unes !




Crédits : Justin W.

vendredi 7 janvier 2011

La série inspiration "Vogue" par Nicolas Larrière

Après la censure, je suis certaine de poster sans crainte mes photos ici, éxhibant presque très innocemment un sein et parfois deux, de façon plus assumée.

Ici, l'inspiration dite "Vogue" est tirée des look de la Madonne de son album éponyme. Voir vraiment ici qu'une inspiration..

J'ai pour projet de faire un shooting beaucoup plus élaboré et plus méticuleux, et dont le concept ne serait plus une inspiration mais une véritable seule et unique source. Donc.. "Vogue Project" pour bientôt j'espère.







jeudi 6 janvier 2011

Suite à la vilaine censure facebookienne.. Voici les coupables

Visiblement, je suis et resterais victime de la censure de Facebook (comme beaucoup d'innocents malheureusement..)

Après deux mois d'accalmie après des signalisations et suppressions abusives de photos et de profils (4 profils), je dois subir la fastidieuse jalousie de certain(e)s et la censure excédée de l'administration de notre Facebook chéri tant aimé pourtant..

Je vais donc procéder à des publications via mon book (http://mademoiselle-lou.book.fr) mais aussi par le biais de ce blog qui était aussi destiné à partager mes expériences.

Comme je disais, voici les coupables, les méchantes photos qui touchent à la petite sensibilité des adorables administrateurs (promis, j'arrête mes sarcasmes !). Ici, je suis certaine qu'elles survivront et qu'il n'y aura aucune censure possible ! 






Crédits : Tori Amos - Enjoy the silence

mercredi 5 janvier 2011

Un vieux côté Marxiste et existentialiste qui ressort..

C’est marrant de constater à quel point le fait de côtoyer un milieu dit « social » rend tellement plus empathique, disponible, sociable. Il y a une certaine purification des rapports, une abstraction relative aux intérêts individuels, une amorce vers une disponibilité strictement philanthropique.
Je ne crois pas que nous soyons tous faits pour cela et tous prédisposés à répondre de cela mais, il y a une révélation réelle convaincante ou non (comprendre ici, que tout le monde en est capable mais pas avec la même aisance, la même intensité, un même revirement). Et tout l’enjeu est là, l’opportunité de saisir ou pas ces instants qui nous inscrivent dans une humanité plus grande, plus pure, un retour à l’essentiel du genre.

Je crois qu’il faut véritablement s’y aventurer, s’efforcer de se réaliser ponctuellement, ou plus longuement par ce biais. C’est un réel travail générique (voir par là « du genre humain ») vers une humanité meilleure, qui se densifie pas à pas avec l’implication de chacun, avec l’investissement de nos âmes parsemés de par le monde entier, pour autrui.

Ce qu’il y a de pure et de beau dans ces initiatives, c’est l’aspect désintéressé, cette recherche immuable de donner pour la beauté du geste et de n’avoir rien en retour que le constat agréable d’une action bonne qui prend forme dans la réalité. La plus grande satisfaction étant de ne pas recevoir, d’être dépourvu de toute attente ; condition étant la plus absolue.
Cette action est authentique seulement en cela et le temps de cet instant, l’âme n’est plus seule dans le monde mais elle devient « le monde ».

Mais quelle difficulté que de renoncer à ces privilèges, à l’accessibilité de tout ce que l’on possède, à l’édifice de tout ce qu’on a bâti pour nous, notre avenir, notre projet. Ce sentiment de mériter tout ce que l’on possède au détriment de ceux qui subissent la pauvreté qui leur est infligée.
Alors oui, tout ce nuance. Ce rapport au mérite, l’organisation de la société dans laquelle nous vivons, les choix idéologiques qui sont prônés au sein de nos Etats restent des choses auxquelles on adhère ou pas, choses auxquelles on se soumet ou pas, choses pour lesquelles on opte ou alors renonce pour des valeurs d’égalité ou d’équité, juste par ce que ces personnes pauvres et démunies , ça pourrait être nous et que l’on aimerait savoir et voir autrui agir pour ce genre d’idée – l’universalité comme fondement – vis-à-vis de nous.
C’est la capacité ultime de se mettre à la place de l’autre, de véritablement réussir à sacrifier de sa vie en prenant conscience que c’est simplement le hasard qui nous a épargné de la misère et qui nous offre le luxe d’un cadre agréable.

Avant de jeter la première pierre sur celui qui quémande deux ou trois pièces pour manger et survivre, je préfère blâmer cent fois plus la capricieuse qui m’horripile de ses frustrations insignifiantes et superficielles. Et cela, comme pour celui qui joue de l’accordéon dans le métro (qui visiblement emmerde tous ceux qui sont certains de trouver un toit chaque soir) et qui a mille fois plus de légitimé que n’importe qui à solliciter son semblable pour de l’aide.
Avant de rejeter celui qui est différent seulement par ce que le hasard de la génétique n’a pas voulu le rendre similaire à ce que nous, humain, nous appelons communément normalité ou standard, acceptons-le pour ce qu’il a à offrir ou pour ce qu’il mérite de recevoir également.

Je vais finir sur ces quelques mots avant d’en devenir véhémente (et seulement par ce que ça me touche).
J’invite juste à réfléchir sans chercher à endoctriner qui que ce soit. Cela reste juste une façon d’éveiller les consciences à qui veut avec le respect des choix et des vies de chacun.
Si j’arrivais à toucher ne serait-ce qu’une personne, je m’en sentirai deux fois plus vivante aujourd’hui car je saurai que mon investissement dans tous ces mots aura eu son utilité et un impact sur quelqu’un et je crois en ça concrétisation réelle.

Vivre en croyant en un monde meilleur est la plus sage des philosophies.


lundi 3 janvier 2011

Je suis pas une ingrate, je pense à vous souhaiter la bonne année !

Une très belle, agréable, mouvementée mais douce nouvelle année.

Des bonnes résolutions ? Je suis une grande adepte de spontanéité et je ne crois pas en ces instants déterminés comme revendicateur de point de départ pour chacune de nos initiatives.
Que ce soit le 7 mars ou le 14 novembre, un lundi comme un jeudi, un matin en se levant ou un jour de tragédie, notre conscience peut agir à chaque instant et je pense qu’il faut croire que l’on peut changer, et cela tous les jours.

Je vous souhaite à tous le meilleur et si ce ne sera pas cette année, construisez votre avenir et croyez en vous.

Bien à vous,

Lou